Je capitule, je rends les armes... Monsieur XY, tu es définitivement trop fort. Ta force de frappe conneriesque est gigantesque. Il n’y a pas de limite à ton imagination...
Mais comment fais tu ? Ou vas tu puiser ton inspiration ?
Un jour, peut être me livreras-tu ton secret, tu me diras :
Comment tu as réussi à piquer un bâton de colle pourtant enfermé en lieu sûr et hors de portée de tes délicats petits doigts...
Comment tu t’es faufilé avec ton larcin dans ta piaule dans le but de badigeonner consciencieusement ton radiateur, l’ensemble formant après séchage une sorte de croûte ragoûtante et collante...
Comment tu me regardes, les yeux remplis d’offense :ah mais, c’est pas moâ...
Le tout en moins de cinq minutes...
Alors qu’il m’a fallu pas moins d’une heure pour tout nettoyer...
Tu es fort en connerie, cher XY, je m’incline mais moi, vois tu, je suis la reine de la punition !